Costes et Bernstein, vous connaissez ? Deux fripouilles. Officiellement détectives, plus souvent chômeurs. Ils n’ont plus une thune. L’angoisse. Heureusement, une nouvelle mission leur tombe dessus : un célèbre expert en tableaux, pas franc du collier, les charge de barboter deux toiles d’un grand maître qu’il a jadis vendues à un milliardaire. Vite ! Il faut les voler avant qu’elles ne partent pour une exposition internationale et que… le monde entier ne découvre qu’elles sont fausses. Costes et Bernstein, comme d’habitude, vont se prendre les pieds dans le tapis. D’autant qu’ils ne sont pas les seuls sur le coup…

«… un nouveau polar aussi captivant et hilarant que les précédents. Pour Philippe Colin-Olivier, “Costes a une cervelle de protozoaire” et Detoni est si snob qu’il est du genre à vouvoyer sa bite. On en redemande ! » Yasmine Youssi, La Tribune.

« On sent que Philippe Colin-Olivier s’est régalé. Il a le mot juste, le verbe vengeur, l’intrigue sans faille. “Tableaux d’honneur” mérite une médaille. Son auteur peut s’en prévaloir. On lui donne même les palmes ». François Cérésa, Madame Figaro

« Tableaux d’honneur a des allures de scénario clé en main avec ses séquences et ses dialogues drôles et incisifs. Et surtout ses intrigues, sous-intrigues, histoires croisées …». Jacques Béal, Courrier Picard.

« Le récit et les dialogues, écrits au vitriol, rappellent le Michel Audiard des “Tontons flingueurs” : “Buter des usuriers, c’est pas un crime. Vois ça comme un correctif budgétaire”.  A quand l’adaptation sur petit ou grand écran ? » Céline Lefranc, Connaissance des Arts.

« Ca va de rebondissements en rebondissements, c’est truffé d’excellents mots, c’est drôle et toujours bien vu ». Robert Colonna d’Istria, Corsica.

« Le polar comique, c’est lui. » Bertrand Galimard Flavigny,  Petites Affiches.

« Si vous voulez une bonne tranche de rigolade, vous savez vers qui vous tourner.» Blog L’Art de lire.